lundi 31 octobre 2011

Ca y'est... Mon petit chat...

Axel, dans mon jardin

Samedi 29 octobre 2011. Ça y'est... 

Axel, dans toute sa splendeur

Axel, en Normandie
Mon petit chat est mort. Celui qui mangeait du beurre et des brocolis, celui qui passait sa journée dehors et qui rentrait avec plein d'herbe et de feuilles dans les poils, celui qui buvait dans la baignoire à 6h du matin, celui qui aimait dormir dans les sacs... Celui qu'on surnommait Titi, Le Clodo, Sapin de Noël ou encore Garfield, en rapport à tous ces comportements plus marrants les uns que les autres, avait commencé à se prosterner. On a décidé de mettre fin à ses jours afin qu'il ne souffre plus... Mais au lieu de faire un éloge sur mon petit chat et de m'enliser dans le pathos, je laisse la place à Renaud et la chanson "Le petit chat est mort". Même si mon petit chat n'est pas tombé d'un toit, il y a beaucoup de lui dans ces paroles. 
(choisir la deuxième vidéo : le clip de la chanson)

mercredi 26 octobre 2011

Fondant comme un roc

Le Salon du chocolat a ouvert ses portes du 20 au 24 octobre à Paris. C'est un événement incontournable pour les amoureux du cacao, pour les passionnés et les experts ou tout simplement pour ceux désireux de découvrir de nouvelles sensations gustatives. J'y suis allée le dimanche 23 octobre et je me suis donnée pour mission de trouver Le rocher, c'est-à-dire, le meilleur rocher du salon.

Il n'a pas été difficile à trouver. J'en ai gouté quatre. Oui seulement quatre alors qu'il y a des centaine de stands. Je ne peux pas m'expliquer sur cela, le premier était le bon, voilà tout : Benoit Chocolats. Parce qu'il s'agit d'un vrai praline maison. Une texture onctueuse, presque moelleuse. Quelques touches granuleuses qui nous rappellent que le praline n'est pas simplement du chocolat. Un goût qui reste en bouche et qui ne s'oublie pas. La première bouchée en dit long : huuuuuuum ! Et donc tout est là : le bonheur et l'extase.
J'ai gouté les trois autres seulement pour la curiosité... et la gourmandise. Je ne dis pas qu'ils étaient immangeables. J'aurais du mal à dire qu'un chocolat est infect. Sauf s'il contient de l'alcool, sauf s'il est au fruit avec une texture désagréable, sauf s'il est à la fleur au parfum dérangeant ou à un autre goût bizarre. Bref, je ne dirais pas que le chocolat est mauvais mais que la chose étrange qui le constitue gâche tout. Les autres rochers n'avaient rien de tout ça, fort heureusement. Ils étaient même plutôt réussis. Mais la magie n'a pas opéré, c'est tout. Avec Benoit Chocolats, on peut dire que j'ai trouvé Le roc qui m'a fait fondre.
Et pour les autres produits de ce chocolatier, c'est par ici : http://www.chocolats-benoit.com/index.html


vendredi 21 octobre 2011

Nous sommes tous désespérés

"La consommation est un acte de désespoir."

[...]

"Mais c'est vrai. C'est ce à quoi les gens consacrent leur temps, désormais. La grande activité culturelle de notre époque. Cela en dit long sur le vide sidéral de la vie moderne."


de Douglas Kennedy dans La femme du Vè.


C'est une pensée positive et pleine d'espoir, n'est ce pas ? 
A aucun moment, on se sent concerné par cette idée...

mercredi 19 octobre 2011

Passer de Paris IV à Paris 13

Entre ces deux universités, on pourrait dire qu'il y a une sorte de fossé.
Ou une crevasse. 
Non.
Je devrais dire qu'il y a un vide interstellaire.

L'une, est dotée d'une population élitiste, bourgeoise, pédante et riche.
L'autre, s'adapte à une population marginale, hybride, agressive et "pauvre".

L'une se situe en plein cœur du quartier latin dans le Vè arrondissement de Paris.
L'autre est posée au milieu de rien dans la ville d'Epinay Villetaneuse, en Seine Saint Denis. 

L'une a une réputation mondiale et possède une annexe à Abou Dabi.
L'autre n'a pas de réputation mais souffre de son emplacement.

L'une se trouve dans un endroit historique.
L'autre est une sorte de campus 'américain'.

Et pourtant, les cours sont aussi bons, les professeurs sont motivés et ont les mêmes compétences. 
Les élèves, quant à eux, même s'ils ont des mentalités opposées, ils ont le même but : réussir.

Alors, les gens s'adaptent-ils au lieu ou créent-ils l'esprit du lieu ?

samedi 15 octobre 2011

"Je suis bien avec les putains, elles m'émeuvent"


Le sexe, Bertrand Bonello connait bien. Le Pornographe, sorti en 2001, n'était pas moins que l'histoire d'un réalisateur, Jacques Laurent, obligé de se remettre en activité pour des questions financières. En apparence, un film sur le sexe. Mais Bonello sait utiliser l'image, la couleur et les acteurs pour transcender ce sujet simplet voire cliché. Après la pornographie, Bonello s'attaque à la prostitution de la fin du 19è siècle. Il raconte et montre cet univers aussi fascinant que repoussant. L'Apollonide parvient à prendre au piège le spectateur, à l'enfermer voire à le transformer en putain ou en animal.

vendredi 7 octobre 2011

Nocturne ambule

           Au coin d'une rue, dans une cours privée ou même sur une façade d'immeuble, l'art est partout. La Nuit Blanche propose des installations cachées ou à la vue de tous. Entre des installations, des néons lumineux, des performances vocales ou des projections, cette nuit permet de découvrir et de rendre l'art contemporain accessible à tous, même au plus réticents. Flash sur cette balade nocturne.