Plus aucune feuille, du moisi blanc et, on peut le dire, une âme partie, une vie finit, un bonsaï au paradis !
C'est triste, c'est sûr.
Je crois quand même que ça me permet de ré-offrir ce cadeau empoisonné à mon père...
Pensée du jour : PERSONNE NE S'IMPROVISE MAÎTRE MIYAGI
Mise à jour et question d'investigation : il est laissé en jachère sur la terrasse du jardin et dépérit mais est-il vraiment mort ?
RépondreSupprimerOui. Le possesseur du bonzaï se tort de douleur à l'idée de jeter un cadeau de ses filles.
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